Miguel Ángel est né à Linares en Espagne en 1979 et a créé un nouveau style pictural entre l’hyperréalisme et le cubisme qu’il appellera le “post néo cubism”, ceci après avoir été impressionné par l’art de Picasso lors d’un voyage à Málaga. Il est actuellement présent dans différentes parties du monde grâce à sa qualité artistique, à sa détermination, à sa persévérance et à sa parfaite compréhension de ce qu’il voulait exprimer grâce à la peinture en grand format, avec une technique épurée peinte en grandes dimensions, des expressions, des visages dont on a l’impression qu’ils ont été réalisés à l’aide d’un pinceau, pourtant, seuls ses pots de peinture espagnole l’accompagnent dans cette croisée artistique à travers le monde, et il retourne toujours à son Linares natal où il réside avec sa femme et ses enfants, ville où, et bien qu’il est un artiste à succès il ne cesse d’être présent lors de nombreuses activités culturelles et sociales.
Lorsqu’on est face à lui, la première chose que l’on voit est son sourire, c’est un homme qui a la joie de vivre, qui est bien dans sa peau et il est satisfait d’observer l’émotion que suscite son œuvre chez ses spectateurs. On remarque également, de par sa corpulence, qu’il a été karatéka et qu’il est un grand amateur d’activité physique, ce qui est réellement nécessaire pour la réalisation de ses oeuvres murales car il parait impensable de pouvoir réaliser du haut d’une grue le visage de 4 femmes à qui il a voulu rendre hommage au 90 avenue des Ternes dans le 17e arrondissement de Paris. Cette murale est en honneur à Françoise Sagan, Marceline Loridan-Ivens, Françoise Giroud et Nadia Murad.
On a quite l’interview comme si nous le connaissions depuis bien longtemps, il est profondément humain, agréable et étant lui un artiste à succès, il garde les pieds sur terre. On peut dire que c’est un vrai artiste. Nous espérons pouvoir le retrouver à l’avenir, dans une autre rue ou avenue de Paris. Nous savons que Miguel Ángel voyage beaucoup actuellement grâce à ses projets artistiques, ainsi que nous ne lui disons pas “au revoir” , mais plutôt “à bientôt!”
